Les donateurs ISF donnent moins en temps de crise, leurs causes préférées sont la santé, l’enfance et l’éducation, et, à l’image des autres donateurs français, cette année, « les assujettis à l’ISF se sont un peu plus ‘’repliés’’ sur les organismes auxquels ils donnent habituellement (79%, +6 points) tandis que la proportion d’entre eux faisant une partie de leurs dons à de nouveaux organismes caritatifs a légèrement reculé (-6 points) ». Bref, les donateurs ISF seraient-ils en fait des donateurs « comme les autres » ?