Dans un contexte de crise énergétique et d’inflation, les dons aux associations se réduisent, alors même que les besoins enflent. Pour résoudre cette équation, IDAIA met à disposition des organismes caritatifs sa capacité de mieux cibler les donateurs et de les fidéliser dans la durée.

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Il suffit de saisir « Restos du Cœur » dans la barre de recherche de votre navigateur et vous aurez très vite une idée de l’actualité, plutôt sombre : « Des files d’attente à Nice », où le nombre de bénéficiaires a augmenté de 25% ; « Les Restos recherchent des bénévoles » dans les Hautes-Alpes, ; « C’est la première fois que je viens » indique une bénéficiaire en Mayenne ; « l’hiver va être compliqué » à Saint-Malo… Les besoins augmentent, quand les dons diminuent.

Ou plus exactement, depuis 10 ans, les donateurs sont de plus en plus généreux mais ils sont de moins en moins nombreux et de plus en plus âgés, comme l’explique le Baromètre de la Générosité

 

Nous avons tous besoin du Marketing

Alors, comment s’en sortir ? Chez IDAIA, nous pensons que les outils du Marketing sont les plus adaptés. Hé oui… Connaissance client, connaissance donateur : même combat ! Acteur de référence du Data-Driven marketing depuis 30 ans, notre groupe a développé une expertise dans la collecte de fonds en BtoB et en BtoC. Nous accompagnons ainsi plusieurs associations, comme la Société saint-Vincent de Paul.

Nous ne souhaitons pas être alarmistes, mais sachez qu’il faut agir car en 2025, une fracture s’opèrera entre les jeunes générations (X-Y-Z) et les seniors / boomers. L’engagement se fera sous des formes différentes que le don d’argent. Les nouvelles cibles stratégiques seront les baby boomers (très nombreux) et la génération X (ayant les revenus les plus élevés).

 

Des gisements inexploités

90% des associations collectent des données, mais près de 50% déclarent ne pas vraiment comprendre la manière dont elles peuvent (et ont) un impact sur leur activité (étude Every Action & Non Profit Hub).

Or, dans un contexte de collecte de fonds (qu’il s’agisse ou non du secteur caritatif), vous avez trois enjeux-clefs :

–    Enrichir et améliorer la qualité des données de ciblage pour optimiser les chances de contact ;

–    Dématérialiser les processus de don ;

–    Maximiser la part de dons en prélèvements automatiques.

 

Les données de contact (email, téléphone et adresse postale) doivent être vérifiées et enrichies. Les sources des contacts étant multiples, il faut pouvoir réconcilier ces bases multicanales et dédoublonner l’individu pour obtenir une vision unique du donateur. Ces opérations de traitement des bases peuvent être automatisées. Par exemple, dès la saisie d’un formulaire de don en ligne, l’utilisation d’API de contrôle peut fiabiliser la donnée en temps réel.

Le scoring donateur vous permet d’évaluer la propension de chacun à effectuer un don et de cibler les individus à fort potentiel. En la matière, il est essentiel d’activer les leviers digitaux : Apple Pay est par exemple utilisé par les Street Fundraisers de l’Armée du Salut. Autre exemple à Londres, où 92 bornes de don sans contact ont été installées dans le métro et les boutiques de la métropole.

 

Entretenir la relation avec le donateur

Une fois le donateur convaincu, il s’agira de le fidéliser (et notamment en le faisant passer en prélèvement automatique) puis d’animer votre communauté. Là encore, cela passe par des outils Marketing ! Un outil de gestion de la relation donateur, avec des fonctions CRM, est indispensable pour les organisations de taille moyenne ou de grande envergure.

Pour découvrir toutes nos bonnes pratiques, telles que la co-registration ou la vérification d’IBAN, vous pouvez télécharger ci-dessous notre livre blanc entièrement consacré à la collecte de fonds.

En bonus : une autre approche sur les données des donateurs => ici