[Publirédactionnel par Eudonet]

Le rapport de Rogare, un groupe de réflexion international sur le fundraising, explore les implications éthiques de l’intelligence artificielle (IA) dans le secteur caritatif. Cette analyse rejoint les préoccupations et engagements d’acteurs innovants comme Eudonet et son approche de l’IA.

Actuellement, l’IA peut servir d’outil d’aide à la création et l’optimisation de campagnes de collecte en facilitant la création de contenus, la personnalisation et le ciblage.

Le rapport souligne l’importance cruciale de la supervision humaine. Les professionnels du fundraising doivent développer une solide compétence éthique et une maîtrise des données pour garantir une utilisation responsable de l’IA. Malheureusement, les compétences actuelles du secteur sont insuffisantes pour assurer cette supervision efficace.

Plusieurs défis éthiques persistent avec l’intégration de l’IA. La transparence reste un enjeu majeur : comment informer les donateurs de l’utilisation de l’IA sans risquer de réduire leur engagement ? Les risques de discrimination algorithmique sont également préoccupants, car les systèmes d’IA peuvent reproduire et amplifier des biais existants dans les données.

Eudonet illustre parfaitement cette approche responsable en remplaçant ChatGPT par une IA souveraine dans GiveXpert. Cette décision stratégique garantit la confidentialité totale des données et la transparence des algorithmes, tout en minimisant l’impact environnemental.

Des questions juridiques complexes émergent également, notamment concernant la propriété intellectuelle des contenus générés par l’IA et la responsabilité en cas de préjudice. Comment attribuer la responsabilité quand les systèmes sont opaques et difficiles à comprendre ?

Pour répondre à ces défis, le rapport propose un agenda de recherche détaillé en dix points. L’objectif est de développer des cadres éthiques robustes, d’auditer les algorithmes, de recueillir différentes perspectives et de créer des mécanismes de supervision adaptés.

Un autre point sensible concerne l’accessibilité technologique. L’IA pourrait creuser l’écart entre les grandes et les petites organisations caritatives, en raison des coûts d’implémentation. Le rapport recommande donc le développement d’infrastructures de données partagées et de standards ouverts pour garantir un accès équitable.

Le choix d’Eudonet est particulièrement remarquable sur ce point car l’outil IA est accessible pour l’ensemble des utilisateurs GiveXpert dès le premier niveau « Accès » et sans limitation d’usage.

Enfin, les experts mettent en garde contre un autre danger : la perte progressive de compétences humaines. Une dépendance excessive à l’IA pourrait conduire à un appauvrissement des savoir-faire traditionnels en collecte de fonds. Il donc est essentiel de maintenir un équilibre entre innovation technologique et expertise humaine notamment au travers des formations et des partages d’expériences. Un mission qu’Eudonet s’est fixé au travers de webinaires et livres blancs.

En conclusion, l’IA représente une opportunité prometteuse pour le fundraising, mais son déploiement nécessite une approche prudente, transparente et responsable, centrée sur les valeurs humaines et environnementales.