[Publirédactionnel rédigé par Adfinitas]

 

Le livre blanc Demain la veille : bienvenue en 2030 décortique les dernières tendances de la collecte de fonds. Deux co-auteurs, John Fletcher, planneur stratégique chez adfinitas, et Déborah Berger, CEO du groupe, se prêtent à un jeu de questions-réponses.

 

Cette nouvelle édition de Demain la Veille est riche en tendances, insights et prévisions ! Quel premier enseignement retiendriez-vous, là comme ça ?

J.F. : pour être honnête, je ne m’attendais pas à ce que le monde de l’entreprise pèse autant sur la collecte de fonds. Aujourd’hui, quand j’imagine les destinataires des campagnes, je pense surtout à des particuliers. Demain, il faudra adresser une toute nouvelle cible : les comités d’entreprise, les groupes d’employés ou les marques employeur. Ça change complètement la donne.

 

D.B. : Effectivement, les passerelles entre le secteur privé et le monde associatif se renforcent : c’est une vraie bonne nouvelle ! La RSE est un axe stratégique essentiel pour les entreprises et cela peut se faire au profit des associations.

Je retiens aussi l’approche systématiquement menée par persona, qui sont si chères à adfinitas. Les boomers, X ou Y n’ont pas les mêmes parcours de vie et, forcément, pas les mêmes attentes vis-à-vis des causes qui les touchent.

 

Est-ce qu’il y a une anecdote sur la conception de ce projet que vous pourriez partager ?

J.F. : lorsqu’on a commencé à travailler le livre blanc il y a deux ans, le métavers était au cœur de nos recherches car tout le monde ne parlait que de ça… mais le ‘boom’ de cette innovation a finalement fait un énorme flop !  C’est le jeu du planning stratégique, on ne gagne pas à tous les coups : on étudie des signaux forts / faibles qui permettent de prédire qu’une tendance va prendre de l’importance. Et parfois, nos prédictions prennent une tournure inattendue.

 

D.B. : C’est parfois délicat de démêler le buzz du changement structurel, on pourrait dire la même chose de la Blockchain, un sujet que je connais bien d’ailleurs, mais qui reste encore marginal aujourd’hui par rapport à l’ampleur qu’il a pu prendre dans le débat public. Et sur le plan du fundraising, ça reste encore assez mineur… 

Je pense, en revanche, que l’IA générative annonce un réel changement structurel. Je me réjouis qu’adfinitas reconduise régulièrement cet exercice qui mobilise toute l’agence et nous invite à nous projeter et rester en veille sur l’innovation au sens large.

 

Vous parlez beaucoup de l’intelligence artificielle dans Demain la veille. Vous identifiez ça comme une révolution, ce n’est pas un peu ambitieux ?

J.F. : C’est vrai que c’est le sujet de l’année, chaque jour on voit de nouveaux usages de l’I.A. générative se créer, dans de multiples métiers d’ailleurs. J’ai le sentiment que c’est un sujet dont chacun doit s’emparer. Nous sommes nombreux à hésiter – ne serait-ce que pour les questions éthiques que ça pose – mais je suis persuadé qu’on devrait tous s’y mettre, selon nos envies et nos moyens, car l’I.A. fera bientôt partie de nos vies, avec ou malgré nous.

 

D.B. : C’est aussi très enthousiasmant de se projeter sur les progrès que l’I.A. va générer sur la relation donateur, la personnalisation des parcours et même sur notre propre efficience interne en tant qu’agence.

 

Il y a 2 ans, vous sortiez Bienvenue en 2025, cette année c’est Bienvenue en 2030 : et dans deux ans, vous publierez 2035 ?

J.F.. : Bien vu 😉 Peut-être que nous explorerons d’autres angles sur nos prochaines parutions…

 

D.B. : Je compte surtout sur l’ensemble de la communauté des fundraisers pour nous dire ce que vous aimeriez lire et approfondir. On a conçu ce livre comme une base de discussion, chacune des six sections peut donner lieu à d’innombrables workshops qu’on serait ravi de mener. Nous sommes impatients d’avoir vos retours sur cet outil !

 

Pour découvrir ce livre blanc, inscrivez-vous ici au webinaire qui aura lieu le 4 avril de 9h15 à 10h30