[Publirédactionnel par Hopening]
Vous le savez, l’intelligence artificielle (IA) est en train de révolutionner le monde, et le secteur du fundraising n’échappe pas à cette tendance. Selon l’AFF, 75% des organisations caritatives françaises prévoient d’utiliser l’IA d’ici 2024 pour optimiser leurs campagnes de collecte de fonds. Mais quels sont les usages concrets de l’IA pour le fundraising ? Quels sont les enjeux pour les organisations ? Quels sont les apports possibles d’une agence comme Hopening et ceux des prestataires techniques du secteur ? Et comment se préparer à l’évolution de l’IA au sein des organisations ?
L’IA, qu’est-ce que c’est ?
L’IA, c’est l’ensemble des techniques qui permettent à des machines d’effectuer des tâches normalement réservées aux humains. L’IA repose sur des algorithmes qui apprennent à partir de données, et qui s’améliorent au fur et à mesure de leur utilisation. Les principales promesses de l’IA sont de gagner en temps, en précision, en performances, en idéation et perspectives nouvelles, en réduction de coûts. Bien sûr le fundraising utilisait déjà de l’IA – souvent, sans même le savoir - , en achat média programmatique, avec les outils de Téléphonie Assistée par Ordinateur ou les outils de scoring et de segmentation, dans l’utilisation de certaines plateformes-outils en mode SaaS…
En 2023, c’est l’IA générative, avec son totem Chat GPT, mais aussi DALL-E, MID JOURNEY, CLAUDE, BARD, LLAMA, PIKA… qui a explosé : génération de textes, d’images, de vidéos, de sites internet, de codes… Il existe aujourd’hui des milliers d’IA, avec des fonctionnalités diverses. Il s’en crée chaque semaine, et chaque semaine, les IA existantes annoncent des évolutions.
Parmi les tendances intéressantes et qui vont favoriser l’adoption des outils d’IA, il y a l’intégration dans les suites logicielles traditionnelles : Copilot pour la suite Microsoft, Firefly pour Adobe, et bientôt Duet AI pour la suite Google.
L’IA, pour quoi faire dans le fundraising ?
L’IA peut être utilisée pour le fundraising de plusieurs manières, par exemple :
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Pour effectuer des Benchmark, des études, des recherches. Trouver des idées neuves.
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Pour la création, les maquettes, la production de contenu que ce soit en génération d’images de textes, de vidéo… pour rédiger des rapports, des newsletters, des messages d’appels de fonds, des infographies…
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Pour segmenter les donateurs potentiels en fonction de leurs profils, de leurs intérêts, de leurs comportements, etc. L’IA peut ainsi aider à identifier les prospects les plus susceptibles de donner, et à leur proposer des messages personnalisés via leur canal de communication préféré.
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Pour analyser les données issues des campagnes de collecte de fonds, comme le taux de conversion, le montant moyen des dons, le taux de fidélisation, etc. L’IA peut ainsi aider à évaluer l’efficacité des actions menées, et à optimiser les stratégies de fundraising en fonction des résultats obtenus.
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Pour interagir avec les donateurs (testateurs, mécènes, prospect, philanthropes…) de manière automatisée et personnalisée, par exemple via des chatbots, des assistants vocaux, des emails, etc. L’IA peut ainsi aider à renforcer la relation avec les donateurs, à répondre à leurs questions, à les remercier, à les fidéliser, etc.
L’IA, quels sont les enjeux pour les organisations ?
L’IA présente de nombreux avantages pour le fundraising, mais elle pose aussi des défis pour les organisations : le coût (serveurs, logiciels, consultants…) la compétence (formation, recrutements, changement d’organisation…), la confiance et l’éthique (dans l’origine et la propriété des données, le respect du Rgpd, le contrôle des productions).
L’IA, quels apports attendre d’une agence comme Hopening ?
Chez HOPENING, nous croyons fortement en l’IA comme la 3ème révolution technologique dans l’univers du fundraising moderne. Nous avons abordé le sujet de l’IA assez tôt dans l’année 2023, de façon exploratoire, ouverte et même ludique (pour favoriser la prise en main par les équipes).
En 2024, nous allons accélérer pour l’intégrer dans nos processus internes, pour améliorer et gagner en production créative, pour doper nos productions et outils digitaux au service de nos clients. Notre plan de mise en œuvre vise à évaluer les solutions d’IA les plus adaptées aux besoins du fundraising des OSBL, tester, s’enrichir des retours d’expériences et améliorer avec un raisonnement toujours ancré dans la réponse aux besoins et le ROI des solutions.
Notre ambition pour 2024 est de pouvoir accompagner les organisations clientes autour de :
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Une vision : Hopening peut conseiller les organisations dans la définition de leur stratégie de fundraising à l’ère de l’IA, en tenant compte de leurs objectifs, de leurs ressources, de leurs contraintes, etc. Hopening peut aussi aider les organisations à anticiper les tendances et les opportunités du marché, et à innover dans leurs pratiques de fundraising.
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Une expertise : Hopening peut assister les organisations dans le choix, la mise en œuvre et l’évolution des solutions d’IA les plus adaptées à leurs besoins, en s’appuyant sur son expérience, son réseau de partenaires et sa connaissance du secteur.
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Une collaboration : Hopening peut aider les organisations à travailler en partenariat avec les prestataires techniques du secteur, faire le lien entre les demandes des organisations et les offres IA des prestataires, et assurer le suivi et la coordination des projets.
L’IA, comment se préparer à son évolution au sein des organisations ?
Pour profiter pleinement des opportunités de l’IA, les organisations caritatives doivent se préparer à son évolution au sein de leurs structures, en adoptant une démarche proactive et responsable. Voici quelques conseils pour y parvenir :
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Se former : que ce soit au niveau stratégique, opérationnel ou technique. Il existe de nombreuses ressources en ligne, comme des cours, des webinaires, des podcasts, etc., qui permettent d’acquérir les bases ou d’approfondir ses connaissances sur l’IA. Il est aussi possible de participer à des événements, comme des conférences, des ateliers, des hackathons, etc., qui permettent d’échanger avec des experts, des pairs ou des utilisateurs de l’IA.
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Se tester : en expérimentant des solutions IA existantes ou en développant des prototypes. Il existe de nombreux outils en ligne, comme des plateformes, des applications, des API, etc., qui permettent de tester facilement et rapidement des fonctionnalités d’IA.
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Se questionner : en se posant des questions éthiques (ex: utiliser une image représentant un bénéficiaire ou un témoignage générés par l'IA), juridiques, sociales, etc. Les cadres de référence, comme les chartes, les principes, les normes, etc., sont encore à inventer dans notre secteur ! elles ne doivent pas constituer des freins de principe à l’innovation. Inspirons-nous des autres secteurs !
Alors, l’IA, une opportunité pour le fundraising ?
Assurément, à condition de l’appréhender avec lucidité, pragmatisme et éthique. L’IA n’est pas une fin en soi, mais un moyen au service de la cause. L’IA n’est pas un substitut à l’humain, mais un complément qui deviendra vite indispensable !